samedi 15 janvier 2011

OBAMA VEUT REFAIRE LES RELIGIONS

— Vincent Pellegrini 

Un article du site Eucharistie Miréricordieuse fournit matière à réflexion sur la direction que les élites de ce monde veulent donner aux grandes religions. On y trouve notamment une partie de l’allocution que Michel Schooyans  (prêtre belge et professeur émérite de l’Université Catholique de Louvain) à la session plénière de l’académie pontificale des sciences sociales, allocution lue au Vatican, en français, le matin du vendredi 1er mai 2009. Obama et Tony Blair, à travers leur action et divers Think Tank, veulent répandre les “nouveaux droits”, en utilisant à cette fin les religions du monde et en adaptant celles-ci à leurs nouvelles tâches. Ces religions devront être réduites au même commun dénominateur, c’est-à-dire vidées de leur identité. Cela ne pourra se faire que moyennant l’instauration d’un droit international inspiré de Hans Kelsen (1881-1973) notamment. Ce droit devra aussi s’imposer aux religions du monde de telle façon que la “foi” nouvelle soit le principe unificateur de la société mondiale. Cette “foi” nouvelle, ce principe unificateur, devra permettre de faire avancer les Millenium Development Goals. En fait, le projet de Tony Blair prolonge et amplifie l’Initiative des Religions Unies, apparue il y a plusieurs années. Il prolonge également la Déclaration pour une éthique planétaire, dont Hans Küng est l’un des principaux inspirateurs. Ce plan ne pourra se réaliser qu’au prix du sacrifice de la liberté religieuse, de l’imposition d’une lecture “politiquement correcte” des Écritures et du sabotage des fondements naturels du droit. (…) On revient à une religion civile. (…). La question de la vérité de la religion n’a plus de pertinence. Les textes religieux, et en particulier bibliques, doivent être compris dans leur sens purement “métaphorique.

Jérusalem (ats/afp) Benoît XVI n’a jamais fait partie des Jeunesses Hitlériennes, a affirmé mardi à l’AFP le porte-parole du Vatican. Le père Federico Lombardi démentait des informations parues dans la presse israélienne et internationale. Selon lui, le pape, durant sa jeunesse, «a été enrôlé contre sa volonté dans une unité de défense anti-aérienne chargée de la protection des villes». «Tout est dans sa biographie», a-t-il poursuivi. A l’époque, Joseph Ratzinger était un jeune séminariste, souligne- t-il. «Pendant une courte période, il a été détenu par les Américains, à la fin de la guerre, et après cette détention brève, il est retourné au séminaire». Ces propos du père Lombardi contredisent des informations parues dans la presse depuis la désignation du successeur de Jean-Paul II, en 2005.
Selon une enquête allemande, citée par l’agence de presse religieuse catholique française i.media, le futur pape avait adhéré aux Jeunesses Hitlériennes, mais contre sa volonté, en 1941, le jour de son 14e anniversaire. Il a été catalogué «membre obligé» (Zwangs- Hitlerjunge), différent donc des volontaires (Stamm-Hitlerjunge). C’est le 2 août 1943 qu’il a été incorporé comme auxiliaire dans la défense antiaérienne. Le président du Parlement israélien, Reuven Rivlin, a refusé de se rendre à l’aéroport pour accueillir le pape et n’a participé qu’à la cérémonie à Yad Vashem, reconnaissant son «malaise» en présence d’un ex-membre des Jeunesses Hitlériennes et de la Wehrmacht, qu’il a désertée en 1944, a-t-il expliqué

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