Une société spirituellement dépressive ne veut plus d’enfants et paie des experts pour justifier son suicide démographique
Classé dans : Religions non-chrétiennes — Vincent Pellegrini @ 12:13
HUMEUR: A quoi jouent nos chercheurs? La presse a chroniqué cet été une étude du Fonds national suisse de la recherche scientifique (FNS) sur les conflits entre générations. J’ai découvert, éberlué, ce résumé d’une agence de presse: «Eu égard aux assurances sociales, les débats évoquent souvent la nécessité d’augmenter le nombre de naissances. Le rapport du FNS arrive à la conclusion que ce raisonnement est erroné. Le vieillissement de la société serait certes ralenti, mais la charge sociale de la population active s’en trouverait alourdie. Elle devrait en effet non seulement subvenir aux besoins des personnes âgées, mais aussi à ceux des enfants et des jeunes.»
Et dire que la Confédération paie des chercheurs pour dire de telles âneries. Nos parlementaires fédéraux feraient bien d’aller y mettre leur nez… Par contre, là où les chercheurs ont raison, c’est que les enfants coûtent cher. Surtout dans les familles dites nombreuses, c’est-à-dire dépassant le modèle type de deux enfants. Or, aujourd’hui, avec un taux de natalité catastrophiquement bas, la Suisse ne renouvelle même plus ses générations d’Helvètes. Elle est donc condamnée à faire plus d’enfants si elle ne veut pas entrer dans quelques décennies dans l’hiver démographique. Ne cachons pas les enfants sous les raisonnements à court terme et les statistiques, mais donnons-leur plus de place dans la société!
Et dire que la Confédération paie des chercheurs pour dire de telles âneries. Nos parlementaires fédéraux feraient bien d’aller y mettre leur nez… Par contre, là où les chercheurs ont raison, c’est que les enfants coûtent cher. Surtout dans les familles dites nombreuses, c’est-à-dire dépassant le modèle type de deux enfants. Or, aujourd’hui, avec un taux de natalité catastrophiquement bas, la Suisse ne renouvelle même plus ses générations d’Helvètes. Elle est donc condamnée à faire plus d’enfants si elle ne veut pas entrer dans quelques décennies dans l’hiver démographique. Ne cachons pas les enfants sous les raisonnements à court terme et les statistiques, mais donnons-leur plus de place dans la société!
conclusion: Rongée par le consumérisme mercantile, notre société atone spirituellement a peur des enfants car ils constituent un obstacle au “bien être”. Des études ont d’ailleurs montré que l’argent n’était pas le premier motif des parents dans la fixation de leur nombre d’enfants. L’épicurisme mâtiné d’égoïsme est souvent le responsable de la raréfaction des naissances dans un foyer. Un jour les experts marqués par l’écologie profonde (nouvelle religion) diront que faire des enfants cela pollue la planète (les théories malhusiennes ambiantes le disent déjà depuis longtemps) et les parents occidentaux cesseront de faire des enfants. Définitivement.
Vincent Pellegrini
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