Vincent
Pellegrini
Cavalier
seul
Vincent
Pellegrini
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Dans notre société, l’être humain est de
plus en plus considéré uniquement sous un angle utilitariste et plus comme un
être créé à l’image de Dieu qui possède une étincelle divine. L’agence ru nous
apprend ainsi que le «Journal of Medical Ethics» anglais vient de publier
un article qui prône le meurtre du nouveau-né, au même titre que l’avortement
du bébé avant sa naissance. Selon les auteurs, les philosophes Francesca
Minerva (université de Melbourne) et Alberto Giubilini (université de Milan),
ni le fœtus ni le nouveau-né ne seraient des «personnes» et ils n’ont donc pas
de droits, y compris le droit à la vie. Ils ne seraient que des personnes
«potentielles». Voilà l’avortement poussé jusqu’au bout de sa logique. Il nous
mènera à l’assassinat et à l’euthanasie. En Suisse aussi, le débat fait
désormais rage pour savoir si Exit (organisation d’aide au suicide) peut entrer dans les EMS. Comme pour
persuader nos aînés souffrants que leur vie n’a plus aucune utilité? En
Belgique, l’euthanasie active est légale depuis dix ans. Mais jusqu’ici elle ne
concernait que les majeurs conscients. Or, un projet de loi vise désormais les
enfants et les personnes démentes. Une dérive prévisible guette également la
France. Le pape déclarait récemment: «…la
femme est souvent convaincue, parfois par les médecins eux-mêmes, que
l'avortement représente non seulement un choix moralement licite, mais même un
acte «thérapeutique» nécessaire pour éviter des souffrances à l'enfant et à sa
famille, et un poids «injuste» pour la société. Dans un contexte culturel
caractérisé par l'éclipse du sens de la vie, où s'est beaucoup atténuée la
perception commune de la gravité morale de l'avortement, et d'autres formes
d'attentats contre la vie humaine, il faut aux médecins une force spéciale pour
continuer à affirmer que l'avortement ne résout rien, mais tue l'enfant,
détruit la femme et aveugle la conscience du père de l'enfant, en ruinant,
souvent, la vie.»
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Selon le Conseil des Etats, les petits fumeurs de joints pourraient
échapper au passage devant le juge en s’acquittant d’une amende de 100 francs.
C’est ce qui s’appelle banaliser les drogues qui sont d’ailleurs souvent
associées à l’alcool pour un effet encore plus fort. Les policiers devront-ils
se déplacer avec une balance?
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