jeudi 17 avril 2014

Le big bang


Cavalier seul

Vincent Pellegrini

 

-         Le «Figaro Magazine» annonce qu’une équipe du centre d’astrophysique de Harvard-Smithsonian a trouvé une trace, représentation ténue d’une vibration fossile de l’univers, celle d’une onde cosmique primordiale (big bang originel) attrapée par un radiotélescope en Antarctique dans le cadre de la mission Bicep2. Pour l’astrophysicien Trinh Xuan Thuam il semble incontestable que «si nous acceptons l’idée qu’il n’existe qu’un seul univers, le nôtre, nous devons postuler l’existence d’une cause première qui a réglé d’emblée les lois de la physique et les conditions initiales». Cette idée, que partageait à sa façon Albert Einstein, d’un Dieu «cause première des choses».

-         Des femmes sorties des réseaux de prostitution ont sévèrement critiqué les agences de l’Onu et d’Amnesty, pour avoir plaidé en faveur de la légalisation de la prostitution. D’après elles, toute légalisation aurait pour effet d’augmenter le nombre de femmes victimes de cette forme de traite des êtres humains, et de transformer le proxénétisme en un type d’entreprise légitime, explique Lisa Correnti. 

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-          Une Lettre pastorale de l'épiscopat de Pologne est parue récemment. Cette lettre attaque la théorie du genre comme un danger pour la famille. Les évêques polonais expliquent notamment: «Le bienheureux Jean-Paul II, rappelle que la vérité sur l’institution du mariage transcende la volonté des individus, les projets spontanés des couples, les décisions des organismes sociaux et gouvernementaux (1980). Cette vérité est à chercher auprès de Dieu, car Dieu lui même est l’auteur du mariage entre un homme et une femme. Les tentatives de redéfinition des notions de mariage et de famille imposées actuellement en particulier par les partisans de l’idéologie du gender et relayées par certains médias doivent susciter les plus vives inquiétudes. Le «genderisme» défend des principes totalement contraires à la réalité et à l’intégrité de la nature humaine. Le «genderisme» affirme que le sexe biologique n’a pas de signification sociale et que compte, par dessus tout, le sexe que chaque être humain peut librement définir indépendamment des contraintes biologiques. La tentative de mettre sur un pied d’égalité différents types d’union est de facto un affaiblissement du mariage conçu comme l’union d’un homme et d’une femme.» 

 

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