Cavalier
seul
Vincent
Pellegrini
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Le
8 juin, le pape ainsi que les présidents israélien et palestinien étaient
réunis dans les jardins du Vatican pour une invocation promotrice de la paix.
Un imam s’est également exprimé mais il n’a pas pu se retenir en terminant son
invocation par un appel à la victoire sur les peuples infidèles. Un gros couac
dans cette cérémonie... Le mot utilisé était kafir qui désigne tous ceux qui
n’ont pas embrassé l’islam (gents du Livre ou des autres religions, irréligieux
et apostats). Gêné, le Vatican a enlevé de son site internet l’intervention de
l’imam et n’a laissé que l’invocation du pape François.
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Mgr Athanasius Schneider, évêque auxiliaire catholique au Kazakhstan, a
donné le 27 mai 2014 en Angleterre une interview publiée sur le site Latin Mass
Society concernant la crise dans l’Eglise. Il a notamment déclaré: «Selon
ma connaissance et expérience, la plaie la plus profonde dans la crise actuelle
de l’Eglise est la plaie concernant l’Eucharistie, les abus du Saint Sacrement.
Beaucoup de gens reçoivent la Sainte Communion dans l’état objectif du péché
mortel… Ceci se répand dans l’Eglise, surtout dans l’Occident. Là les gens vont
très rarement à la Sainte Communion avec une préparation suffisante.» Voilà
un langage que l’on n’a plus l’habitude d’entendre.
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L’islam
contemporain a trop
souvent un problème avec la violence et Benoît XVI
avait déjà abordé de manière oblique cette
thématique sensible lors de son fameux discours de Ratisbonne. Durant son dernier voyage en Terre Sainte, le pape François n’a
pas éludé la question lors de son passage à Jérusalem. Sur l’Esplanade des mosquées, face au grand mufti
de Jérusalem, il a notamment déclaré: «Respectons-nous
et aimons-nous les uns les autres comme des frères et des sœurs! Apprenons à comprendre la douleur de
l’autre! Que
personne n’instrumentalise par la violence le Nom de Dieu!»
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«C'est le moment de
s'y mettre»,
a dit le pape François en invitant les fidèles à prier le chapelet tous les
jours. Dans sa rencontre du 12 mai, avec les prêtres et les séminaristes des
collèges pontificaux de Rome, le pape a confié qu'il priait tous les jours le chapelet.
Il a insisté à plusieurs reprises devant les fidèles sur la nécessité de dire le chapelet, pratique qui
s’est beaucoup perdue en Occident.
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